Pour Marie-Antoinette (1932) Zweig avait réuni une abondante documentation. Il fournit le même travail préparatoire lorsqu’il reconstitue le conflit qui, dans Marie Stuart (1935), oppose la reine d’Écosse à Élisabeth Ire d’Angleterre. Lecteur assidu mais critique de Freud, l’écrivain explore la psyc
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Pour Marie-Antoinette (1932) Zweig avait réuni une abondante documentation. Il fournit le même travail préparatoire lorsqu’il reconstitue le conflit qui, dans Marie Stuart (1935), oppose la reine d’Écosse à Élisabeth Ire d’Angleterre. Lecteur assidu mais critique de Freud, l’écrivain explore la psyc
Pour Marie-Antoinette (1932) Zweig avait réuni une abondante documentation. Il fournit le même travail préparatoire lorsqu’il reconstitue le conflit qui, dans Marie Stuart (1935), oppose la reine d’Écosse à Élisabeth Ire d’Angleterre. Lecteur assidu mais critique de Freud, l’écrivain explore la psychologie de ses héroïnes. Certaines de ses remarques peuvent de nos jours paraître entachées de préjugés. Elles contribuent toutefois à la compréhension en situation d’une lutte acharnée entre deux femmes au corps en proie au désir et condamné au vieillissement. Princesses proches par le sang et le rang, soeurs qui jamais ne se rencontrent, Marie et Élisabeth sont liées par une inextricable communauté de destin.
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