Close Le bassin du Congo, estimé à une capacité de réserve de pollution mondiale de trois ans, est en voie de devenir le premier poumon de la planète, l'Amazonie n'assurant plus son rôle de séquestration du carbone et d'atténuation du gaz à effet de serre « GES » suite à la déforestation.  
La RDC possède la flore la plus riche du continent, avec plus de 11 000 espèces de plantes supérieures dont 3 200 espèces endémiques (29 %).  
Membre de la Commission des forêts d'Afrique centrale (COMIFAC), la RDC devra donc contribuer à la gestion durable de l'écosystème forestier telle que prévue par des textes légaux et réglementaires de cette organisation internationale. Cela ne devra pas, toutefois, l'épargner de répondre aux besoins internes des populations qui dépendent exclusivement de l'exploitation des forêts.
Cette étude cherche donc à répondre à une problématique complexe : il s'agit, pour la République démocratique du Congo, de trouver une solution aux contraintes écologiques internationales tout en répondant aux besoins économiques et sociaux internes.

La RDC et la commission des forêts d'Afrique centrale

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Contribution à la gestion durable des écosystèmes forestiers

Le bassin du Congo, estimé à une capacité de réserve de pollution mondiale de trois ans, est en voie de devenir le premier poumon de la planète, l'Amazonie n'assurant plus son rôle de séquestration du carbone et d'atténuation du gaz à effet de serre « GES » suite à la déforestation.  La RDC possède

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Auteur(s): Mukengere Ntakalalalwa, MatthieuEkyamba, Shabani

Editeur: L'Harmattan

Collection: Etudes africaines

Année de Publication: 2025

pages: 365

Langue: Français

ISBN: 978-2-336-44437-6

eISBN: 978-2-336-44438-3

Le bassin du Congo, estimé à une capacité de réserve de pollution mondiale de trois ans, est en voie de devenir le premier poumon de la planète, l'Amazonie n'assurant plus son rôle de séquestration du carbone et d'atténuation du gaz à effet de serre « GES » suite à la déforestation.  La RDC possède
Le bassin du Congo, estimé à une capacité de réserve de pollution mondiale de trois ans, est en voie de devenir le premier poumon de la planète, l'Amazonie n'assurant plus son rôle de séquestration du carbone et d'atténuation du gaz à effet de serre « GES » suite à la déforestation.  
La RDC possède la flore la plus riche du continent, avec plus de 11 000 espèces de plantes supérieures dont 3 200 espèces endémiques (29 %).  
Membre de la Commission des forêts d'Afrique centrale (COMIFAC), la RDC devra donc contribuer à la gestion durable de l'écosystème forestier telle que prévue par des textes légaux et réglementaires de cette organisation internationale. Cela ne devra pas, toutefois, l'épargner de répondre aux besoins internes des populations qui dépendent exclusivement de l'exploitation des forêts.
Cette étude cherche donc à répondre à une problématique complexe : il s'agit, pour la République démocratique du Congo, de trouver une solution aux contraintes écologiques internationales tout en répondant aux besoins économiques et sociaux internes.

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