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La vie marque et laisse des empreintes indélébiles. Écrire la vie, c’est sauver de l’effacement et restituer une histoire individuelle ou collective à la croisée de la réalité et de la fiction. Afin que l’histoire restituée soit vraie, l’écriture doit rendre la vie telle qu’elle a été. Sans la métaphoriser. Cet essai témoigne d’une écrivaine et de sa création littéraire qui s’instaure selon la logique de la recherche, de la préservation et de la restitution des traces matérielles et des empreintes affectives. La trace et l’empreinte mettent en dialogue la mémoire, la perte, le souvenir, le temps vécu, le corps, l’identité narrative et le don. Comme l’écrit Tiphaine Samoyault : « Ce livre témoigne d’une rencontre entre une écrivaine et sa lectrice, celle-ci transmettant à son tour, dans un livre très riche, la persistance du cercle du don, par-delà les frontières, les âges et les langues. Le contre-don de la lecture répond à la très belle confiance que lui a faite Annie Ernaux en la rencontrant, en correspondant avec elle et en l’autorisant à consulter ses manuscrits. »

Annie Ernaux : l’art de la trace

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La vie marque et laisse des empreintes indélébiles. Écrire la vie, c’est sauver de l’effacement et restituer une histoire individuelle ou collective à la croisée de la réalité et de la fiction. Afin que l’histoire restituée soit vraie, l’écriture doit rendre la vie telle qu’elle a été. Sans la métap

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Auteur(s): Cora Iringó

Editeur: Presses universitaires de Rennes

Collection: Essais

Année de Publication: 2025

pages: 459

Langue: Français

ISBN: 978-2-7535-9893-5

eISBN: 979-10-413-0916-0

La vie marque et laisse des empreintes indélébiles. Écrire la vie, c’est sauver de l’effacement et restituer une histoire individuelle ou collective à la croisée de la réalité et de la fiction. Afin que l’histoire restituée soit vraie, l’écriture doit rendre la vie telle qu’elle a été. Sans la métap

La vie marque et laisse des empreintes indélébiles. Écrire la vie, c’est sauver de l’effacement et restituer une histoire individuelle ou collective à la croisée de la réalité et de la fiction. Afin que l’histoire restituée soit vraie, l’écriture doit rendre la vie telle qu’elle a été. Sans la métaphoriser. Cet essai témoigne d’une écrivaine et de sa création littéraire qui s’instaure selon la logique de la recherche, de la préservation et de la restitution des traces matérielles et des empreintes affectives. La trace et l’empreinte mettent en dialogue la mémoire, la perte, le souvenir, le temps vécu, le corps, l’identité narrative et le don. Comme l’écrit Tiphaine Samoyault : « Ce livre témoigne d’une rencontre entre une écrivaine et sa lectrice, celle-ci transmettant à son tour, dans un livre très riche, la persistance du cercle du don, par-delà les frontières, les âges et les langues. Le contre-don de la lecture répond à la très belle confiance que lui a faite Annie Ernaux en la rencontrant, en correspondant avec elle et en l’autorisant à consulter ses manuscrits. »

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