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En Afrique, ployant sous l'usure du pouvoir et des promesses au peuple souvent non tenues, la plupart des dirigeants post-indépendances se distinguent par leur mutisme. Parce que les « rois/princes » sont fainéants, des menins prennent en otage les institutions étatiques.

À l'instar du Cameroun, des régimes s'illustrent par des tentatives de réinvention destructrices : népotisme, délation, crétinisme, violences et homosexualité stratégique, entre autres, (ré)-apparaissent comme des attributs de pouvoir et de domination.

Dans le sillage africain, la démocratie de type occidental serait-elle un idéal lointain ? Faudrait-il définitivement appréhender cette partie du monde comme un objet d'étude spécifique ? Ce livre préconise une démarche contraire, car il apparaît que la spécificité africaine a essentiellement comme inconvénients le rejet de l'État de droit et du constitutionnalisme.

À défaut d'intégrer les principes démocratiques, les dirigeants du continent noir devraient au moins partager les valeurs républicaines et ce, en guise de reconnaissance pour des peuples qui, malgré tout, glorifient leurs « rois » et célèbrent leurs compagnons. Par-delà l'analyse d'un régime, le livre saisit le leurre de la démocratie en Afrique depuis 1990.

L'Afrique des timocrates

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La politique des privilèges

En Afrique, ployant sous l'usure du pouvoir et des promesses au peuple souvent non tenues, la plupart des dirigeants post-indépendances se distinguent par leur mutisme. Parce que les « rois/princes » sont fainéants, des menins prennent en otage les institutions &eacu

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Auteur(s): Koungou, Léon

Editeur: Editions du Cygne

Collection: Essai

Année de Publication: 2011

pages: 154

Langue: Français

ISBN: 978-2-84924-242-1

En Afrique, ployant sous l'usure du pouvoir et des promesses au peuple souvent non tenues, la plupart des dirigeants post-indépendances se distinguent par leur mutisme. Parce que les « rois/princes » sont fainéants, des menins prennent en otage les institutions &eacu

En Afrique, ployant sous l'usure du pouvoir et des promesses au peuple souvent non tenues, la plupart des dirigeants post-indépendances se distinguent par leur mutisme. Parce que les « rois/princes » sont fainéants, des menins prennent en otage les institutions étatiques.

À l'instar du Cameroun, des régimes s'illustrent par des tentatives de réinvention destructrices : népotisme, délation, crétinisme, violences et homosexualité stratégique, entre autres, (ré)-apparaissent comme des attributs de pouvoir et de domination.

Dans le sillage africain, la démocratie de type occidental serait-elle un idéal lointain ? Faudrait-il définitivement appréhender cette partie du monde comme un objet d'étude spécifique ? Ce livre préconise une démarche contraire, car il apparaît que la spécificité africaine a essentiellement comme inconvénients le rejet de l'État de droit et du constitutionnalisme.

À défaut d'intégrer les principes démocratiques, les dirigeants du continent noir devraient au moins partager les valeurs républicaines et ce, en guise de reconnaissance pour des peuples qui, malgré tout, glorifient leurs « rois » et célèbrent leurs compagnons. Par-delà l'analyse d'un régime, le livre saisit le leurre de la démocratie en Afrique depuis 1990.

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